Éclairages

Commencez l’année 2024 en découvrant les résultats d’une étude inédite sur l’engagement écologique des salariés en entreprise

Entre impératif de transition et quête de sens au travail, la mobilisation écologique des salariés s’affirme aujourd’hui comme une force majeure de transformation des entreprises. L’étude sociologique #ECOTAF a exploré un panorama de dispositifs de mobilisation et enquêté sur leurs effets au sein d’une douzaine d’entreprises.

What is the role of sufficiency in the decarbonation of buildings?
Action for Market Transformation - A4MT takes part in Ifpeb & ADEME's new Global Alliance for Buildings and Construction (GlobalABC) working group to answer this burning question and deliver a common vision for the integration of a pragmatic sufficiency into building practices!

Après un an de travail, PLUS a fait du chemin et livre ses premiers outils.
Inscrivez vous au Webinaire de présentation le 9 novembre 2022 de 16 à 17h ou livrez nous la problématique de changement interne ou externe à votre organisation.

La sobriété comme "simplification heureuse du monde" est-ce possible ?
Inspiré par les observations sociologiques des concours d'économies d'énergie entre bâtiments tertiaires (CUBES), le programme PLUS s'attèle à identifier les leviers humains pour engager avec envie dans la transition bas carbone ! Au-delà de la sobriété énergétique, la sobriété de nos usages peut être désirable.

Le rôle du facteur humain et l'éclairage des sciences humaines, sociales et comportementales dans la transition bas carbone. Comment donner envie de changer nos usages individuels et collectifs vers davantage de sobriété ? Des pistes de solutions pour rendre désirable le changement de comportements dans la transition environnementale.

A4MT lance un programme inédit de recherche : Promouvoir les usages soutenables (Plus), en partenariat avec le Shift Project. L’objectif : recenser et développer les solutions pour engager positivement individus et organisations dans la transition environnementale.

Le facteur humain est-il un profond de verre à la transition énergétique ?
L'équipe PLUS vous invite à la soirée de lancement du projet "Promouvoir Les Usages Soutenables", en partenariat avec The Shift Project. Rendez-vous lundi 20 juin 2022 au Grand Rex, à 18h.

Les grands événements mondiaux tels que les guerres, les pandémies, les crises économiques, les attentats dans une certaine mesure, voire les catastrophes naturelles ou industrielles nous semblent intuitivement être des moments propices à l’acceptation de changements majeurs par le plus grand nombre. Mais est-ce bien le cas dans les faits ? Éclairage des Sciences Humaines et Sociales.

Cédric Borel est le président de l’Institut français pour la performance énergétique du bâtiment et l’un des initiateurs du Booster du réemploi. Dans un contexte réglementaire foisonnant, il fait le point sur l’état de l’art et la maturité des acteurs de la construction sur le chemin de la décarbonation. Il l’assure : le succès est à portée de main, à condition d’engager une vraie transformation opérationnelle… saupoudrée d’un peu de beauté. Entretien.

86% des salariés français se considère comme « transféreurs ». C’est ce qui ressort d’une enquête Harris Interactive menée à l’échelle nationale en 2020 pour l’ADEME et A4MT.
Le concept de « transféreur » a été mis en évidence par une équipe de chercheurs pluridisciplinaire dans le cadre d’une recherche pilotée par A4MT, et qui désigne ces salariés qui ont volontairement transféré un comportement en faveur de l’environnement depuis leur domicile vers leur lieu de travail ou inversement.
Les différents profils de transféreurs sont à découvrir dans cet article.

La transition énergétique et environnementale, comme tout changement, présente une difficulté d’appropriation des nouvelles pratiques par les individus et plus largement les organisations. Dans la majorité des organisations candidates au concours d’économies d’énergie CUBE 2020, la gamification s’est illustrée comme un « rite de passage » pour accélérer une transition déjà à l’œuvre mais dont l’adoption était souvent freinée par l’absence d’empowerment des salariés et de communication entre eux. L’arrivée d’un nouveau mode de fonctionnement sous forme de concours réorganise le « système social » interne en accordant plus de place et de reconnaissance aux acteurs de la gestion de l’énergie et du développement durable.

Une étude sociologique a permis de mettre en lumière le mécanisme du transfert de pratiques environnementales du domicile au travail. Ces praticiens de l’écologie sont appelés des « transféreurs » : soit des individus qui mettent en œuvre sur leur lieu de travail des pratiques environnementales dont ils sont familiers à leur domicile.
Cet article est republié à partir du site The Conversation sous licence Creative Commons.